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La ruralité aujourd’hui : le Local et le Global – Ordre du jour

Séminaire du Cercle Triglav, Poussignol, 7-9 Juillet 2017

LA RURALITE AUJOURD’UI : LE LOCAL ET LE GLOBAL

ORDRE DU JOUR ET PROGRAMME DE TRAVAIL

Objectifs de ce seminaire

A partir d’exemples et de témoignages concernant la France et plus particulièrement la Nièvre, et aussi d’exemples dans d’autres pays qui pourront être évoqués par les participants, les objectifs de ce séminaire sont les suivants :

  • Comprendre ce qu’est la ruralité aujourd’hui, a la fois comme réalité d’une situation et comme projet et politique.
  • Comprendre quelle est la situation de l’agriculture et sa place dans les politiques de ruralité
  • Comprendre ce que signifie la ruralité dans l’évolution des idées et des politiques concernant, notamment, la modernité, la mondialisation, le développement, la place de l’humanité dans la nature.

Le Cercle Triglav, de par ses origines et ses réflexions au cours des années passées, aborde ce sujet de la ruralité avec quelques orientations générales:

  • Les idées importent ; elles fondent et orientent toutes les actions humaines et doivent donc être explicitées et débattues pour être sources de liberté et de créativité.
  • Il n’y a pas de déterminisme historique, en ce sens que l’humanité a la liberté et la capacité d’orienter son avenir. Elle a aussi la liberté et la capacité de se détruire. Toute pensée, toute action compte, mais le niveau de responsabilité de chacun est a la mesure de son niveau de pouvoir.
  • Le pouvoir, qu’il soit politique, économique, financier, ou issu des moyens d’information, ne se justifie que par le service a l’autre, a la communauté, a l’humanité.
  • Il y a des principes moraux universels, des repères qui valent pour les comportements individuels aussi bien que pour l’organisation des sociétés et du monde. C’est le respect de la dignité humaine, dans toutes les situations, qui résume le mieux cet universalisme moral sans lequel le vivre ensemble est impossible.
  • Etre réaliste, c’est reconnaitre toutes les dimensions de l’être humain, y compris sa générosité et son altruisme.
  • Il y a un continuum entre le spirituel et le temporel, le philosophique et le concret, l’humanité et la nature. Toute forme de dualisme est dangereuse. L’harmonie avec soi-même, avec l’autre, avec la nature sont liées et se nourrissent mutuellement.

Thèmes et questions proposées

Premier thème : Qu’est-ce-que la ruralité, aujourd’hui ?

La ruralité est d’abord un état, ce qui caractérise un territoire, un espace considéré comme rural. Les définitions du rural, les critères utilises pour le différencier de l’urbain, varient avec les pays et évoluent dans le temps. En France, traditionnellement, une commune est rurale si elle rassemble moins de 2000 habitants. Dans les pays scandinaves, ce seuil est 200 habitants ; au Japon, 50.000 habitants….A ce critère de taille de l’unité administrative de base, s’ajoutent parfois d’autres critères, tels le pourcentage de personnes actives dans l’agriculture, ou la densité maximum de la population, ou encore l’absence de certains équipement ou services. Et puis, l’on utilise aujourd’hui des notions telles que espace sous influence urbaine, ou espace à dominante rurale.

Cette question de définition  du rural et de l’urbain est en elle-même un vaste sujet qui n’est pas celui de ce court séminaire. Il est donc proposé d’utiliser la définition suivante qui est suffisamment précise pour cerner les débats et suffisamment générale pour accommoder différentes situations : L’espace rural se caractérise par une densité de population faible, par un paysage a couverture végétale prépondérante (champs, prairies, forets, autres espaces naturels), par une activité agricole relativement importante, du moins par les surfaces qu’elle occupe. » (Encyclopédie de l’Agora, Pour un monde durable)

En ces termes  de pourcentage du territoire et de pourcentage de la population hors métropoles, la France reste rurale. Mais, ces espaces ruraux sont loin d’être uniformes, et l’un des classements pertinents distingue trois types : les espaces péri-urbains, très dépendants des villes et en général dynamiques ; les espaces ruraux dits « profonds » ou « fragiles », éloignes des villes, et souvent en déclin démographique et économique ; et, les espaces ruraux dits « vivants », qui, plus ou moins éloignes des villes ont néanmoins leurs équilibres et leurs dynamismes pour des raisons diverses, notamment une agriculture prospère et le tourisme. (cette typologie est due à Philippe Perrier-Cornet, Institut National de la Recherche Agronomique, Dijon).

La Nièvre, en tout cas toute sa partie Est, qui englobe le Morvan Nivernais et qui n’a pas de centre urbain atteignant 10.000 habitants, est, si l’on en juge par les données disponibles, un espace rural du deuxième type, confronté à diverses difficultés.

Etat d’un espace, d’un territoire, la ruralité est aussi un projet, une politique. En France, c’est semble-t-il seulement au cours de ces dernières années que le pouvoir central a inscrit la ruralité au niveau de politique nationale. C’est une politique qui se situe dans le cadre des valeurs républicaines d’égalité des territoires, qu’ils soient urbains ou ruraux, et d’égalité des personnes qui vivent dans ces territoires. Le dernier gouvernement, avant les élections de Mai-Juin, avait un Ministère de l’Aménagement du Territoire, de la Ruralité et des Collectivités Territoriales. Le présent gouvernement a un Ministère de la Cohésion des Territoires. Au niveau régional et départemental cette politique se traduit par des projets, des stratégies s’inscrivant dans la perspective du développement durable. Ainsi, le Conseil Départemental de la Nièvre, a adopté en 2009 un document très complet intitulé Nièvre 2021, Un projet territorial durable.  En Mars 2017, a été signe, entre le Préfet, représentant de l’Etat, et le président du Pays Nivernais-Morvan, un Contrat de Ruralité pour le territoire Nivernais-Morvan. Et, de nombreux organismes et associations diverses sont, dans le département, impliqués dans ces projets de ruralité.

Parmi les questions possibles :

  • Pourquoi la ruralité est-elle, aujourd’hui en France, une question politique ?
  • Si l’on entend par politique de ruralité, un effort de sauvegarde et de développement d’un territoire à dominante rurale en difficulté, y-a-t ‘il dans d’autres pays des exemples de telles politiques ?
  • Quels sont les objectifs des politiques de ruralité ? A quelles valeurs répondent ces politiques ?
  • Il est affirmé qu’au niveau des mentalités et des comportements la distinction entre « ruraux » et « urbains »a largement disparu et aussi que le « rural » est devenu à la fois attractif et « possible » comme lieu de résidence, notamment grâce aux nouvelles technologies de communication. Dans ce contexte, la « ruralité » est-elle  « seulement » un projet « d’accompagnement » et « d’encouragement » d’un changement dont les causes sont essentiellement culturelles ?
  • Que recouvre le terme « nouvelles ruralités » ?
  • Si l’on a des exemples de territoires ruraux stagnants ou en déclin  retrouvant leur dynamisme, quelles ont été les raisons de ces succès ?
  • Quel est le rôle du « secteur prive » dans les projets et politiques de ruralité ?
  • Les projets et politiques de ruralité sont-ils construits selon le principe de subsidiarité, c’est-a-dire que chaque niveau de décision fait seulement ce que le niveau inférieur ne peut pas faire ?
  • En prenant un aspect précis d’une politique de ruralité, par exemple rendre vie aux centres-bourgs, ou garder des services publics de proximité, ou créer des emplois dans les secteurs non-agricoles, quelle est la marge d’autonomie des autorités et acteurs locaux pour mener à bien ces actions ? A quels obstacles se heurtent-ils?

 

 

Deuxième thème : Comment les politiques agricoles s’articulent t’elles avec les politiques de ruralité ?

Les projets et politiques de ruralité évoqués plus haut ont, en France, des volets, des chapitres concernant l’agriculture. Par exemple, dans le projet Nièvre 2021, qui comporte 14 « chantiers majeurs », on lit dans le chantier 7 que le développement économique de la Nièvre devra, inter-alia, « favoriser les circuits courts, accompagner une agriculture durable, diversifiée et de qualité, tout en cultivant les spécificités fortes du savoir- faire de la Nièvre. » Aussi, « l’agriculture biologique sera favorisée, » l’objectif est de « produire local, transformer local, consommer local… »

Mais, toujours en France, l’agriculture fait l’objet d’une politique nationale, insérée dans la politique de l’Union Européenne – notamment dans le cadre de la Politique Agricole Commune (PAC) et insérée aussi dans le cadre international, notamment par les accords commerciaux négociés sous l’égide de l’Organisation Mondiale du Commerce ou entre l’ Union Européenne et des pays tiers. L’Accord Economique et Commercial Global (AECG, ou CETA) conclu entre l’U.E et le Canada est un exemple éminent. Donc, au niveau régional ou départemental, les autorités politiques et administratives n’ont qu’une très faible capacité de peser sur la situation de l’agriculture dans leur territoire.

Un autre fait est que si l’agriculture française reste la première d’Europe en termes de valeur des produits et de surface utilisée, et aussi la première bénéficiaire des aides financières provenant de la PAC, cette agriculture est, globalement, dans une situation de crise de longue durée, avec des crises aigues pour certaines productions. Ainsi, en ce moment, de la crise du lait et de la crise de l’élevage. Ces crises se placent dans un contexte de changement structurel de l’agriculture française qui est lui de très longues durée et dont les éléments principaux sont les suivants : diminution du nombre d’agriculteurs et de salaries agricoles ; augmentation de la taille des exploitations ; mécanisation avec  obsolescence et renouvellement rapide des machines, d’où investissements importants et endettement; utilisation importante de produits fabriqués tels engrais et pesticides ; accent sur la productivité et la compétitivité sur les marches internationaux.

Ce modèle d’agriculture, intensive, industrielle, capitaliste, correspond au modèle de développement qui a prévalu dans le monde depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et qui a ses origines dans la révolution industrielle. Il est de plus en plus contesté, au niveau international comme au niveau local, et de nombreuses initiatives, de nombreux mouvements sont porteurs d’une vision de l’agriculture radicalement différente. Pourtant, aujourd’hui en France, dans les faits, il semble que ce soit toujours le modèle d’agriculture industrielle qui soit dominant.

Parmi les questions possibles:

  • S’il est vrai que la politique agricole reste en France informée par une vision productiviste de l’agriculture, que signifient les projets de ruralité ? Ceux-ci ne sont-ils pas en contradiction avec celle-là ? La logique ultime d’une agriculture intensive et soumise aux règles du libre-échange n’est-elle pas que certains territoires soient « ruraux » et néanmoins sans agriculture ? Qu’en est-il a cet égard dans d’autres pays ?
  • L’agriculture est beaucoup plus qu’un »secteur » de l’activité humaine. Elle est essentielle, comme la nourriture l’est à l’humanité. Avons-nous des exemples, en France ou ailleurs, de projets et politiques de ruralité  contribuant efficacement à promouvoir un ou des modèles agricoles alternatifs au modèle dominant, notamment l’agriculture biologique et, plus généralement, l’agriculture paysanne ?
  • L’agro-écologie est, d’après la dernière loi-cadre française pour l’agriculture (loi du 13 Octobre 2014, dite Loi Le Foll) l’objectif à atteindre. Qu’en est-il de cette notion et de sa mise en pratique ?
  • Quelles conditions devraient être remplies pour que des territoires ruraux gardent vie et dynamisme, y compris avec une agriculture rémunératrice, productrice d’une nourriture saine et respectueuse de la nature ?
  • Comment les agriculteurs voient-ils leur métier et leur avenir ?
  • La diversification des cultures et des productions agricoles est souvent mentionnée comme une des solutions aux problèmes que rencontrent les agriculteurs. Quels sont les obstacles à cette pratique ?
  • La population agricole vieillit. A quelles difficultés est confrontée une personne jeune souhaitant embrasser cette activité ?
  • Que recouvre le choix du mot « paysan » comme alternative au mot « agriculteur » ?
  • Il semble que, au moins en France, l’équilibre, sans doute difficile à réaliser, entre la liberté d’entreprendre, de produire et de commercialiser ses produits, y compris dans le domaine agricole, et la nécessite de certains contrôles, pour diverses raisons allant du sanitaire au fiscal en passant par la protection des salariés, soit rompu en faveur de contrôles et de règlementations trop nombreux et trop contraignants. Quels pourraient être les remèdes a cette situation ? D’autres pays offrent-t ‘ils des éléments de solution ? En particulier, comment sont perçues les normes émanant de l’Union Européenne relatives à la protection de l’environnement et a l’activité agricole ?

 

 

 

Troisième thème : Sur quelle vision de la personne, de la société et de l’organisation du monde reposent les efforts et politiques d’aujourd’hui concernant la ruralité et l’agriculture ?

D’abord, il importe de souligner une évidence : les débats et politiques concernant la ruralité et l’agriculture se déroulent dans un contexte extrêmement difficile. Seulement quelques points :

  • La violence, depuis ses formes guerrières jusqu’à ses formes d’incivilité et de manque de respect pour l’autre, a envahi le monde.
  • Les souffrances humaines sont, sans faire de comparaison avec le passé, très nombreuses.
  • Les inégalités, sous leurs diverses formes, n’ont cessé de s’aggraver depuis le dernier quart du siècle dernier, notamment dans les pays les plus riches.
  • La pauvreté et la misère sont aussi en hausse, notamment dans les mêmes pays riches.
  • La mobilité sociale est moindre qu’elle ne l’était il y a un demi-siècle.
  • Le résultat est le sentiment répandu qu’il y a deux catégories ou classes d’individus et de familles : ceux qui bénéficient des tendances et des changements que l’on résume sous le terme mondialisation et ceux qui n’en bénéficient pas, ou sont les victimes.
  • Le résultat est aussi qu’il y a dans beaucoup de pays, une crise du politique et de la démocratie : une très importante partie de la population (le « peuple », les « masses) ne se reconnait plus ni dans les institutions, ni dans les elites politiques, ni dans les décisions qui sont prises en son nom. S’ajoute a cela conviction que les élites politiques, économiques, financières, voire intellectuelles, sont en collusion et poursuivent leurs propres intérêts identifies a l’intérêt général.
  • Même si l’accord de Paris sur le changement climatique marque un sursaut, tardif mais important, de la communauté internationale, tous les principaux indicateurs sur l’état de sante de la planète Terre sont toujours au rouge. Les progrès, réels dans quelques pays, restent globalement insuffisants pour stopper et inverser des détériorations qui mettent en cause le futur sinon de notre planète mais certainement de notre civilisation.
  • Tous ces faits conduisent de très nombreuses personnes dans le monde a douter de l’avenir. Et de nombreuses voix souhaitent, réclament de réels changement. L’une de ces voix les plus audibles, celle du Pape François, proclame qu’un « changement de cap, » une « révolution culturelle » sont impératives pour sauver l’humanité.

Dans ce contexte, ce troisième thème peut se réduire a une seule question : les efforts et les politiques pour des espaces ruraux vivants et pour une agriculture au service de l’humanité, contribuent’ ils, pourraient-ils contribuer à ce changement de cap ? Questions dérivées :

  • Il semble que le fait d’être  «connecté », par tous les moyens qu’offrent les technologies modernes, ajouté aux charmes de la « campagne »,  rende la vie dans un territoire rural possible et attractive et puisse réduire l’urbanisation. Quelle est l’ampleur du mouvement de ce « retour à la terre, »  dans la Nièvre, en France et dans d’autres pays ?
  • Est-ce que, mis à part l’aspect touristique, l’attraction pour la vie dans un espace rural est un phénomène réel et, si c’est le cas,  est-ce qu’il suggère une recherche de vie plus simple, plus frugale, moins sollicitée par les diverses stimulations qu’offrent un cadre urbain?
  • Assistons-nous a une réhabilitation, ou revalorisation du travail manuel, notamment du travail agricole, et a un affaiblissement de la distinction entre travail intellectuel et  travail manuel ? Est-ce que le mot « métier »  va retrouver sa noblesse passée ?
  • Est-ce que la notion du « travail bien fait », non pas opposée mais préalable et liée a la notion « d’argent bien gagné » va retrouver sa place et reléguer dans un passé obscurantiste la culture du profit qui caractérise les sociétés « modernes » ?
  • En ce sens, une ruralité animée par une agriculture paysanne, serait (est déjà, en certains endroits ?) la démonstration que la domination par l’argent des rapports sociaux, de la vie économique, de la vie politique, des relations entre nations, n’est pas une fatalité, n’est pas « dans l’ordre des choses » mais est le résultat de décisions individuelles et collectives qui peuvent être  combattues et remplacées par d’autres décisions. Est-ce la une utopie peut-être, mais au moins une utopie mobilisatrice ?
  • A-t-on des exemples, et peut-on imaginer la généralisation de la coexistence d’ une agriculture paysanne, familiale, écologique, raisonnablement rémunératrice et orientée vers les besoins locaux, avec une agriculture toujours écologique et raisonnablement rémunératrice mais orientée vers des marches plus lointains, y compris étrangers ?
  • Peut-on imaginer une telle coexistence, ou complémentarité, au niveau d’un territoire rural, d’un pays (nation), de l’Europe, et du monde ? En d’autres termes, et plus généralement, est-ce que des secteurs de l’économie, y compris l’agriculture, pourraient coexister et prospérer en répondant a des logiques et finalités différentes ? Doit-on s’orienter vers des économies, locales, nationales et globales, « a plusieurs vitesses » ?
  • Le « développement durable » est une notion officiellement acceptée dans le monde entier et qui s’applique à toutes les formes d’activité humaines. Dans les exemples disponibles, locaux, français ou étrangers, comment cette notion est-elle comprise et mise en œuvre ?
  • Au-delà de la protection de l’environnement, qui est le fondement du développement durable, a-t-on des exemples, autres qu’individuels et ponctuels, de projets et de politiques fondées sur l’observation que l’humanité fait partie de la nature, n’est pas séparable de celle-ci et est, pour sa survie, « condamnée » a être en harmonie avec elle ? En d’autres termes, a-t-on des exemples de passage d’un développement durable à un développement intégral ?

 Programme de Travail

VENDREDI 7 JUILLET : A partir de 17h arrivée des participants

20h : Diner : Prise de contact ; présentation de l’ordre du jour ; information sur les intervenants locaux ; questions pratiques.

SAMEDI 8 JUILLET

9h : Commencement des travaux

9h-9h15 : Introduction

9h-10h30 : Premier thème : Qu’est- ce que la ruralité ?

Trois intervenants, pour des exposés d’environ 10 minutes, et débat général.

10h.30-12h30 : Deuxième thème : Comment les politiques agricoles s’articulent-elles avec les politiques de ruralité ?

Deux intervenants, pour des exposés d’environ 10 minutes, et débat général.

12h.30-14h : Lunch

14h-16h : Premier thème : Qu’est-ce que la ruralité ?

Deux intervenants, pour des exposés, d’environ 10 minutes, et débat général.

16h-18h : Deuxième thème : Comment les politiques agricoles s’articulent-elles avec les politiques de ruralité ?

Deux intervenants, pour des exposés d’environ 10 minutes, et débat général

20h : Diner

DIMANCHE 9 JUILLET

9h-12h :Troisième thème : Sur quelle vision de la personne, de la société et de l’organisation du monde reposent les efforts et les politiques d’aujourd’hui concernant la ruralité at l’agriculture ?

12h30-14h : Déjeuner

14h-16h : Suivi de ce séminaire, questions diverses concernant le Cercle Triglav.

 

 

 

 

 

 

 

 

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